Solo

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SOLO

Acoustic solo : Peter Orins : drums

After experimenting with randomness and electronic transformation (see Empty Orchestras – 2014), Peter Orins returns this time with his only drum set, and some objects, bowls, wood, shells…
As an improviser, he is interested in sound textures, the ambiguity of timbres and their production, the saturation of sounds or the harmonics specific to each instrument: make it possible to hear both the “microscopic” noises of skins or metals rubbed, struck, prepared, at very low power, and the acoustic pressures felt at high volume.
His approach focuses on chance, on the uncontrolled via small accidents, acoustic interactions between objects, percussions, resonances and sympathies due to certain frequencies or vibrations. This results in a certain form of fragility, clumsiness or imprecision, not only integrated but also desired, which transcends errors into necessarily unexpected effects, into an unintentional discovery, which in turn establishes another relationship with time.
His practice, influenced in particular by his encounter with minimal music and composers such as Michael Pisaro, James Saunders or Anthony Pateras, led him to approach James Tenney’s piece “Having Never Written A Note For Percussion” (from the Postal Pieces, written in 1971), a piece that combines the musician’s various concerns with time, progression, dynamics and the richness of the timbres…

Electronic Solo : Peter Orins : drums, electronics

Peter Orins project could be called an accompanied solo. The drummer has designed an electronic device autonomous enough to influence him in his play in an almost unpredictable way. Therefore a kind of dialogue is established between the musician and the electronics where the usual roles are reversed: the drummer offers an insistent and repetitive form, transformations and random treatments performed live cause the disorder conducive to improvisation. Magnified timbres or on the contrary disturbed rhythmic progressions cause welcome accidents or extend the resonances of the instrument. In this game between natural timbres of cymbals and skins and amplified deformations of the electronics, Peter Orins seeks vibration and saturation to produce a music made of extreme and powerful rhythms and sound textures.


Solo acoustique : Peter Orins : batterie

Après avoir expérimenté l’aléatoire et la transformation électronique (voir Empty Orchestras– 2014), Peter Orins revient cette fois avec sa seule batterie, et quelques objets, bols, bois, coquillages …
En tant qu’improvisateur, il s’intéresse aux textures sonores, à l’ambiguïté des timbres et de leur production, à la saturation des sons ou aux harmoniques propres à chaque instrument :  faire entendre à la fois les bruits “microscopiques” des peaux ou des métaux frottés, frappés, préparés, à très faible puissance, et les pressions acoustiques ressenties à fort volume.
Sa démarche fait la part belle au hasard, à l’incontrôlé via les petits accidents, les interactions acoustiques entre les objets, les percussions, les résonances et sympathies dues à certaines fréquences ou vibrations. Soit une certaine forme de fragilité, de maladresse ou d’imprécision, non seulement intégrée mais souhaitée, qui transcende les erreurs en effets forcément inattendus, en une découverte non intentionnelle, qui de ce fait installe un autre rapport au temps.
Sa pratique, influencée notamment par sa rencontre avec les musiques minimalistes et des compositeurs comme Michael Pisaro, James Saunders ou Anthony Pateras, l’a amené à aborder la pièce « Having Never Written A Note For Percussion » de James Tenney (issue des Postal Pieces, écrite en 1971), morceau qui agrège les différentes préoccupations du musicien autour du temps, de la progression, de la dynamique et de la richesse des timbres…

Solo électronique : Peter Orins : batterie et électronique

Le projet de Peter Orins pourrait être qualifié de solo accompagné. Le batteur a en effet conçu un dispositif électronique suffisamment autonome pour pouvoir l’influencer dans son jeu de façon presque imprévisible. Dès lors une sorte de dialogue s’instaure entre le musicien et le programme où les rôles habituels sont inversés : le batteur propose une forme entêtante et répétitive, les transformations et traitements aléatoires réalisés en direct amènent le désordre propice à l’improvisation. Timbres magnifiés ou au contraire progressions rythmiques perturbées provoquent des accidents bienvenus ou prolongent les résonances de l’instrument. Dans ce jeu entre timbres naturels des cymbales et des peaux et déformations amplifiées de l’électronique, Peter Orins vise la vibration et la saturation pour produire une musique faite de rythmes et de textures sonores extrêmes et puissantes.


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